Staying Free From “Corporate Marketing Machines”: Library Policy for Web 2.0 Tools

Abstract

Abstract With the rise of social media, libraries are able to use Web 2.0 tools not only for communication and services, but also for marketing and advertising these services. Boundaries between personal and professional, however, can be blurred when librarians use personal accounts for professional reasons. Policy documents to guide librarians in their use of social media are lacking, but policies stored in SocialMediaGovernance.com’s database can provide insight on best-practices policies for social media use in similar environments. This paper assesses the content of policies created by non-profits and government-sponsored institutions and uses these as the basis for recommendations for social media policy in libraries. By clearly defining the use of Web 2.0 technologies in libraries, librarians can be empowered to embrace these new technologies and to rely on their own informed judgment when putting them to use. Résumé Avec l’essor des médias sociaux, une bibliothèque peut actuellement se servir des outils Web 2 non seulement pour la communication et comme plate-forme des services, mais aussi pour le marketing et pour la publicité de ces services. Les frontières entre le personnel et le professionnel peuvent toutefois devenir moins nettes lorsque les bibliothécaires se servent des comptes personnels pour des raisons professionnelles. De la documentation manque pour guider les bibliothécaires dans l’utilisation des médias sociaux, mais des politiques contenues dans la base de données SocialMediaGovernance.com peuvent combler cette lacune en indiquant de meilleures pratiques en ce qui concerne les médias sociaux dans des environnements connexes. Pour arriver à un jeu de sujets à aborder dans sa politique de bibliothèque, cette étude prend en considération les politiques des institutions à but non lucratif et des institutions gouvernementales. En définissant clairement l’usage des technologies Web 2 dans les bibliothèques, les bibliothécaires auront le pouvoir d’accepter ces technologies et ils auront la confiance de les mettre en œuvre judicieusement.